Les médecines traditionnelles ont, depuis le départ, intégré la notion d'énergie.
En médecine chinoise, on la retrouve dans la notion de QI (chi), l'énergie vitale qui circule en nous le long des méridiens.
En médecine ayurvédique, la théorie des chakras permet de travailler sur l'énergie et la vitalité des patients.
Et lorsque les occidentaux cherchent à transposer les approches thérapeutiques orientales comme l’acupuncture, ils ne peuvent s’empêcher souvent de les adapter à leur propre vision. Ainsi l'acupuncture sera souvent employée comme un médicament : on l'utilise pour jouer sur un symptômes (une migraine par exemple), alors qu'en réalité, elle serait bien plus efficace dans une démarche globale ou en prévention.
Dans la médecine des causes, l'action du soigneur est d'abord préventive. L'idée est de renforcer le terrain dès le début de la vie pour permettre d'éviter les maladies de civilisation le plus longtemps possible.
Car la maladie est généralement liée à au moins 3 causes :
On peut alors éviter les maladies ou amoindrir leurs effets en travaillant en amont avec le patient sur :
C'est là tout le sens de la médecine énergétique qui, associée à des techniques thérapeutiques favorisant une circulation optimale de l'énergie, à une diététique rigoureuse et de qualité, et à des traitements naturels joueront sur les forces régénératrices de notre corps.